Brorne

 

Sphère : Brorne est le Grand Dragon de la pierre. Sa magie destructrice et opposé aux sacrifices des adeptes de sa caste : les Protecteurs

 

Mentalité : Brorne aime son père, le monde et les hommes. Il a un projet pour les deux derniers. Un paradis statique ou chaque chose est à sa place et aucun détail ne pourra être source de chaos. C’est pour cela qu’il traque sans fin les Humanistes et les Fatalistes. Il connaît les foyers infectés, mais il a le Temps. Dragon de pierre, il mesure son jugement et s’informent longuement. Sa fureur déclenchée, il ne cédera pas un pouce de terrain. Certains prennent cela pour de l’obstination, il sait que c’est de la persévérance. Il passe la majeure partie de son temps à Kern, sa capitale, ou il fait de son mieux pour éduquer les Hommes a vivre dans son paradis : celui de l’Ordre et de la Discipline.

 

Relations : Les Hommes : Brorne possède une grande affection pour les Hommes. Il les sait faibles et tentés et c’est pour cela qu’il veut les guider dans la voie de la rectitude et du courage. Il possède un amour encore plus grand pour les hommes qui ont rejoint sa caste. Même s’il ne participe jamais aux combats, il est toujours là pour les décisions importantes. Il aime s’entourer des Inquisiteurs qu’il considère comme l’élite de l’élite. Le Lien est quelques chose de sacré pour Brorne, c’est pourquoi il incite ses dragons à partager avec les hommes cette expérience. Mais attention, il faut que les deux partis s’en rendent digne et Brorne, père protecteur, est toujours là pour rappeler à l’ordre les enfants turbulents.

 

Ses Dragons : Le dragons de Brorne sont comme lui : droit, impartiale et amoureux de l’ordre et de la hiérarchie qui s’impose même aux ailés. Brorne ira jusqu’à supprimer les dragons dit "déviant" pour éviter que le ver pourrisse le fruit.

 

Ses frères et soeurs : On voudrait le faire passer pour un Inquisiteur, mais Brorne aime ses pairs. Il les aimes plus qu’il ne les comprend. Bien sur, il a ses préférences : Ozyr, Kroryn et Kezyr. Pour les autres, leurs caractères l’intrigue et le désarçonne, à part peut être Szyl qu’il considère comme "un bon a rien". En ce qui concerne Kalimsshar : Il faut l’empacher de nuire.

 

Les Déviances : Pour le Dragon de Pierre, l’Humanisme et le Fatalisme sont deux maux qu’il faut extraire du monde sans distinctions. Il mettra toute sa force et son endurance pour exterminer ces concepts viciés même si cela en passe par le massacre de centaines d’hommes et de femmes.

Heyra

 

Sphère : C’est la sphère de la Nature qui peut être bienfaisante ou destructrice. Les Prodiges sont les suivants d’Heyra.

 

Mentalité : Heyra est vraiment l’image de la "mère nature". Créatrice de toute faune et flore ou presque, elle vie au milieu de cette vie bouillonnante. Terriblement intuitive, elle sait pourtant raisonner calmement et à froid, les affaires qui la dépasse. Montagne de bonté, elle est pourtant capable de se mettre en colère. Et malheur à celui qui reçoit les foudres de Dame nature. Elle vie dans la forêt mère, non loin de sa capitale Temeth, havre de paix pour toute créature.

 

 

Relations :

 

Les Hommes : Les êtres Humains sont pour le Dragon de la Nature, une espèce comme les autres et dans ce sens, elle n’avantagera pas les Hommes au détriment des autres espèce. Seule les Prodiges semblent avoir grâce àses yeux, des messagers de sa volonté qu’ils exécutent par petites touches pour maintenir un équilibre comme l’est la Nature. Le lien est un outils pour la "mère nature" afin d’éduquer les Hommes dans l’Harmonie de ses rêgles. L’homme est souvent le disciple dans cette relation, et il lui faut suivre à la lettre les lois, car plus que le lien, les humains qui trahissent ce lien sont simplement tués.

 

Ses Dragons : Les enfants d’Heyra parcourent Kor afin de réguler les espèces et exterminer les créatures contre-nature de Kalimsshar.

 

Ses frères et soeurs : Heyra est le Grand Dragon qui a le plus de compassion pour ses pairs, même pour Kalimsshar. Elle sait trouver le bon coté de tous. Mais de tous les dragons, ils sembleraient qu’elle se sente plus proche de Kezyr, partageant sa condition parentale. Khy est pour elle un enfant qui lui pause sans cesse des soucis avec sa lubie de l’Humanité qui ne cesse de mettre à mal son équilibre.

 

Les Déviances : Le Fatalisme est un concept philisophique qui ne l’interesserait que peu si Kalimsshar n’utilisait pas ce modèle pour détourner les rêgles de la Nature avec ses Corrompus. L’Humanisme, son désir de comprendre et de modifier l’équilibre en fait une doctrine Hérétique contre laquelle Heyra prone une interdiction sans excès.

Kalimsshar

Sphère : L’une des sphères les plus puissantes qui voue liée à jamais au Neuvième Dragon. La vie et la Mort en sont les préceptes de bases.

 

Mentalité : Notre Maître est le Neuvième dragon et le plus haï de tous, mais pourquoi ? On l’accable de tous les méfaits et de toutes les turpitudes de la vie. Mais sans elles, pas de bonheur ni de joie. On ne peut être heureux sans avoir connu la douleur. C’est en çà que le Dragon de l’ombre croie. Un "changeur", un moteur de l’Histoire dont il est lui même l’Horloge. Maître de la vie et de la mort, il trame des complots dans les profondeurs de sa cité du gouffre Nadjar pour abattre les Empires. Il est le Hérault de la Fatalité et se défends d’être le Mal. Il est le noir quand les autres sont le blanc. Ainsi est Kalimsshar.

 

Relations :

 

Les Hommes : Le Dragon de l’Ombre entretien une relation ambiguë avec l’humanité qui le hais et dont il apprécie l’énergie. Ils sont pour Kalimsshar le résultat d’un projet mûri avec ses frères et surtout avec Khy. Il leur reconnaît une formidable capacité d’adaptation inconnue aux Dragons, qui les rend proche de ses aspirations de changement. Le lien est moyen d’émancipation, un cadeau pour permettre à l’Homme de se dépasser. Il est ouvert à tout ceux qui désirent aller plus loin dans le chemin de la Fatalité.

 

Ses Dragons : Les Sombres, les Dragons du temps sont solidaires, unis par la supicion et le rejet des autres. Ils sont les messagers de leur père qui les utilise pour répandre sa bonne parole. Vivant pour la majorité dans le territoire de Kalimsshar, il ne sont pas pour autant pourchassés dans le reste de Kor, même si les autres Dragons les ont toujours à l’oeil.

 

Ses frères et sœurs : Solitaire, il vie en marge des autres Grands Dragons qui le haïssent pour la majorité. Il n’a de son côté aucune réelle animosité et ne veut que marquer sa différence. Brorne, héraut de l’Ordre ne peut supporter son aspect chaotique, Heyra, la perversion de la Nature qu’il encourage et Kezyr rejette sur le Hérault de la Fatalité la perte de son fils avec lequel Kalimsshar entretien de réelle relation pour meilleur et pour le pire des Hommes. Le Dragon de l’Ombre possède une affection pour sa sœur onirique Nenya sans aucune réciprocité.

 

Les Déviances : Kalimsshar a proposé aux Hommes une voie unique : celle du pouvoir par la Fatalité. Pourtant, il sait que les autres philosophies recherchent le même but inavoué que ce soit par la soumission aux Dragons comme le font les Castes ou sous couvert d’une pseudo liberté prônée par les Humanistes qui ne vivent que pour devenir la race la plus puissante de Kor.

Kezyr

Sphère : Le métal est la sphère de Kezyr et sa magie celle de la création. Mais attention à ceux qui en font une arme destructrice. C’est le Grand Dragon des Artisans qui voient lui la perfection.

 

Mentalité : C’est sans doute le Grand Dragon le plus meurtri. Autrefois, ne vivant que pour la perfection et la beauté, le dragon de Métal vie désormais dans l’attente du pardon se son fils Khy, dont il a arraché un oeil juste avant la bataille de Khymera. Aujourd’hui, il voue son existence à chérir les protégés de son fils. Cette position l’oppose de plus en plus à Ozyr et Brorne qui taxent souvent l’innovation d’Humanisme. Dragon perfectionniste, il n’en a pas pour autant oublier l’artisanat et il vit parmi les humains à Dungard, capitale des Artisans et des arts.

 

Relations :

 

Les Hommes : Kezyr nourrit pour les Hommes un amour infini. D’aucun disent qu’il s’agit juste d’un sentiment de culpabilité vis à vis de son fils, ou d’une façon de se racheter. Plus encore, il écoute et guide les membres de sa caste qu’il suit régulièrement de Dungard. C’est un vrai père, juste, mais sévère envers les fautifs. Il donne aussi beaucoup à travers le Lien que forgent ses fils avec les Hommes. Mais la progression est lente car, Kezyr veut que cette union soit parfaite comme tout ce qu’il entreprend.

 

Ses dragons : Kezyr possède le même amour pour les Hommes qu’il porte pour ses fils. C’est un père et c’est en cela qu’il considère ses dragons comme ses fils. Rigoureux et autoritaire, il est pourtant juste. Aucun dragon de métal n’aime encourir le courroux de Kezyr, tant ils l’aiment et craignent ses sanctions.

 

Ses frères et soeurs : Comme Heyra, Kezyr a beaucoup de compassion même s’il se sent plus proche de certains. C’est le cas d’Heyra, de Szyl et Nenya. Pour les autres, il connaît leurs défauts mais aussi leurs qualités. Il pleure la perte de son fils, Khy et son chagrin décuple sa haine envers le neuvième dragon qu’il considère comme responsable.

 

Les Déviances : Le Fatalisme est pour Kezyr, l’expression de la perversion et de la destruction à l’encontre de tous ses principes de perfection et de pérennité. Il hait tous les Fatalistes qui avilies l’Homme en l’entraînant vers une vie de cupidité, d’envie et de destruction. Sa position envers l’Humanisme est plus controversée puisque Kezyr soutient les Hommes pour obtenir le pardon de son fils et donc ne peu s’opposer catégoriquement au progrès de l’Humanité. Par contre, il condamne le fanatisme dans toutes ses formes.

Khy

Sphère : Sans s’y être contre, Khy ne pousse pas les mages à suivre sa voie, favorisant plutôt ceux de sa caste : les Commerçants. Sa magie est celle de la Cité et de l’Illusion.

 

Mentalité : C’est le Dragon de l’exil. Par amour pour l’Humanité, il a abandonné sa forme Draconique pour ressembler aux Hommes et rejeter son père Kezyr. Il est bon et charitable laissant agir ses "enfants" en toute quiétude, il se bat seulement pour l’épanouissement des Hommes. Les affaires des Dragons ne l’intéresse que si elles touchent à "ses protégés". S’il a beaucoup participé au développement d’Yris, certains racontent que son réel point de chute serait une ville dans les terres de Nésora. C’est un diplomate et la bonté même. Rien ou presque le ne blesse tant il est capable de comprendre l’autre et le pardonner.

 

Relations :

 

Les Hommes : L’Humanité est la raison, l’amour et le futur de Khy. Khy est prêt à tous les sacrifices et il l’a déjà fait. Les Hommes sont le devenir de Kor et ils sont appelés à marcher aux côtés des Dragons, c’est ainsi que Khy voit l’avenir et il est persuadé que sa mission est d’aider l’Humanité à progresser. C’est pourquoi, Khy est très conciliant avec les humains, ce qui passe pour du laxisme pour certains autres Ailés. Le lien n’est pas encouragé par Khy, mais qui laisse ses Dragons et les humains choisir de s’unir. Généralement, les Ailés de Khy choisissent des hommes et des femmes attachés à leur ville et soucieux de vivre en harmonie avec les autres.

 

Ses Dragons : Beaucoup moins nombreux que les autres Ailés, les Dragons des Cités sont attachés aux villes qu’ils protègent et font prospérer. Dés qu’ils peuvent, ils utilisent leur forme humaine pour marcher parmi les hommes et s’intégrer dans la vie des citadins en tenant des commerces etc….

 

Ses frères et soeurs : Khy vie en retrait de ses frères et sœurs et ne développe que peu de contact, préférant la compagnie des humains aux dragons. Encore meurtri des guerres draconiques qui ont tués des milliers d’humains. Il préfère garder une distance raisonnable avec des créatures capables de tous les excès sans aucune chance d’évolution. Il possède quand même une relation forte avec Kalimsshar avec qui il partage beaucoup de projets pour les Hommes.

 

Les Déviances : Khy est très laxiste avec l’Humanisme et certains se demandent s’il ne serait pas à l’origine de cette philosophie. Cet extrémisme, voulant couper définitivement le lien entre l’Homme et les Dragons semble être le dernier pas vers l’élévation de l’Humanité pour une place égale à celle des Dragons. La Fatalité est pour Khy un moyen de renforcer la détermination des Humains d’une liberté facile et dangereuse. Il considère Kalimsshar et ses dons fait aux Humains comme une saine compétition pour l’émancipation des Hommes.

Kroryn

Sphère : Grands Dragon du feu, sa magie est destructrice et spectaculaire comme les Combattants partant au combat.

 

Mentalité : Kroryn est un dragon capricieux et impulsif qui impressionne même ses congénères. Il aime les combats plus que tout au monde et la destruction qui en découle. Kroryn n’a pas une once de modération ni de sagesse. Tout est versatile chez lui, ses idées, son comportement et le reste. Pour lui, seul les forts méritent de survivre et c’est pour cela qu’il vie souvent à Ankar, sa capitale ou s’affrontent dans les arènes les plus grands Combattants de Kor. Pas la peine de se voiler la face, il sait qu’il est le Destructeur et qu’il modèlera les royaumes par la force de ses griffes et de ses Combattants.

 

Relations :

 

Les Hommes : Les Hommes sont cette lave malléable dont il peu en tirer substance. Il adore leur pulsions destructrices et surtout celles de ses Combattants. Ils sont pour lui les seuls à pouvoir résister au pouvoir des Temps.Mais ses élus sont le summum. Des êtres hors paires qu’il faut éprouver chaque jours pour les élever vers la perfection. Kroryn n’encourage pas le Lien préférant que les Combattants gagne leur mérite à la force de leur volonté que part les faveurs de l’un de ses enfants.

 

Ses Dragons : Qu’ils s’éprouvent mutuellement et apprennent à l’école de la guerre. Les Ailés du Dragon du feu considèrent Kor comme un immense champs de bataille. Ils ne respectent que la force brute entre eux et se soumettent au plus fort. Ils sont loin des affaires de Hommes si celles-ci n’ont pas directement attrait au combat. Kroryn ne leur impose qu’une seule loi : celle de répondre à l’appel de leur père.

 

Ses frères et sœurs : Il est de notoriété qu’il reproche à ses pairs une tempérance qu’il ne connaît pas. On le dit pourtant proche de Kezyr qui partage avec lui la puissance du feu et de Khy aussi. La haine éprouvée pour Kalimsshar n’est qu’un argument pour le combattre. Il semble se désintéresser de ses soeurs en règles générales.

 

Les Déviances : L’Humanisme est une forme de lâcheté, sinon pourquoi ses hommes ne s’intéresseraient qu’aux sciences et aux armes à distance. En ce qui concerne la Fatalité, l’attitude de Kroryn est plus ambiguë. En effet, il partage avec Kalimsshar un goût prononcé pour la destruction. Certains de ses enfants s’étant même liés avec des Hommes suivant cette philosophie.

Nenya

Sphère : La magie EST la sphère de Nenya, mais c’est aussi celle des rêves. Si chacun des Mages suit sa voie, il reste quelques part un adepte de Nenya.

 

Mentalité : Nenya est la mystérieuse, la "gardienne des énigmes". Vivant dans son Eerie onirique, elle ne vient que rarement s’intéresser aux affaires des hommes et de leurs créateurs. Elle passera tout naturellement à sa ville Onyr, cité magique et changeante. Dragon de la magie et des rêves, elle apparaît souvent dans son univers onirique au dormeur qui sommeille. Son fils, Szyl, ne comprend pas lui même sa mère trop énigmatique et détaché. De plus ses actions ne semblent motivées que par ses pensées obscures et hermétiques. On raconte que son regard est perçant et son sourire énigmatique. Les autres dragons s’en méfis quand ils n’en ont pas l’audace de la mépriser.

 

Relations :

 

Les Hommes : Tous les humains rêvent et c’est ainsi que Nenya prend contact avec l’Humanité. C’est a prés à cela que s’arrête les relations avec les Hommes. Pour les mages de sa caste, elle sait être plus autoritaire et exigeante, surtout depuis la IVème croisade ou elle a refondu sa Caste. Elle a tout récemment changé d’opinion et conforte ses fils à tisser le Lien avec les humains pour leur permettre d’en comprendre plus sur la magie et éviter de voir l’Humanité se retourner vers l’Humanisme.

 

Ses Dragons : Ils sont les éléments d’un tout qui est la magie. Elle les sait fragiles et c’est pour cela qu’elle les protège. Malheurs aux dragons qui s’attaqueront à l’un de ses fils ! Changeant et vaporeux comme leur mère, ils parcourent Kor et les rêves de leurs habitant afin de calmer et inspirer la bienveillance.

 

Ses frères et sœurs : Nenya n’a pas vraiment pas beaucoup d’interaction avec les autres Grands Ailés, mais les visites souvent dans leur rêves, ces lieux ou elle se sent le plus a l’aise. Kroryn, Kezyr et Brorne lui semble trop terre à terre. Elle est fascinée par Ozyr, sas sœur, par ses connaissances et son appréciation du monde. Heyra est une amie en plus d’une sœur partageant l’imagination et la création fantastique. Ennemi et souvent allié ; Kalimsshar partage avec elle le secret du monde des rêves et la conception réelle de la magie et de sa raison d’être. Elle apprécie la légèreté de Szyl même si elle regrette qu’il ne puisse créer comme elle le fait.

 

Les Déviances : L’Humanisme est le seul sujet "terrestre" qui lui semble d’une importance majeure. Cette doctrine s’oppose point par point à l’essence même du Grand Dragon de la magie. Elle prend une grande part aux croisades contre les humains atteint de cette perversion. Si les Inquisiteurs chassent les corps, les Dragons des Rêves chassent les esprits et sont sans pitié. La Fatalité n’est que l’aspect négatif de la vision de Nenya qui tolère comme les deux aspects d’un tout.

Ozyr

Sphère : Ozyr est le Grand Dragon des océans et des Erudits. Sa magie est insondable et violente parfois.

 

Mentalité : Première fille de Moryagorn, elle s’oppose à ses frères par la réflexion et le sens de la pondération. Attirée par les mystères de Kor, elle essaie de tout répertorier, de tout consigner. Fondamentalement pacifique, sa parole atoujours un énorme impact auprès de ses pairs. Elle est de nature anxieuse, et passe beaucoup de temps à vérifier ses propres informations. Elle est la Connaissance. Certains la trouve secrète, mais c’est la peur de voir tomber dans de mauvaises mains des informations capitales.

 

 

Relations :

 

Les Hommes : Les Hommes sont pour Ozyr la plus grande source de fascination quand à leur capacité de compréhension. Elle suit leurs découvertes et les consignes pour les révéler en temps voulu. Si un humain, par ses capacités arrive à un savoir interdit, elle lui en fait part et l’invite à quitter son sujet d’étude. Ozyr est assez hésitante en ce qui concerne le Lien qui d’une certaine manière permet aux Hommes d’allez plus loin sur les chemins de la connaissance, mais prive de l’égalité à celle-ci. Pour ce qui est de ses enfants, elle y trouve un bénéfice, tirant ces derniers d’une solitude scolastique qu’elle trouve mal venue. Le Lien est pour la mère de la connaissance une alchimie à chaque fois nouvelle d’où elle espère en tirer encore et encore des connaissances.

 

Ses Dragons : Discret comme leur mère, ils peuplent les océans pour défendre leur territoire et couler les imprudents. Ils ont aussi le droit de regard sur le progrès des Hommes qu’ils retransmettent à Ozyr.

 

Ses frères et sœurs : Ozyr est détachée de ses frères et soeurs qui vivent dans le présent. Artisan de l’Histoire, elle est trop occupée à étudier le passé pour prévoir l’avenir et s’attacher aux royaumes et aux batailles de ses frères et soeurs. Même Kalimsshar est sur un pied d’égalité, même si Ozyr se méfie un peu de son cadet.

 

Les Déviances : Ozyr à la conviction que l’évolution des connaissances se fait par l’attachement de l’Homme au Dragons et vice-versa. Ainsi, l’Humansime qui s’enfuit vers une connaissance aveugle est la pire crainte pour le Dragon du Savoir. C’est pour cela qu’elle combat l’Humanisme avec toutes ses armes pacifiques. Quand au Fatalisme, c’est l’expression d’un besoin de pouvoir toujours croissant sans aucun cheminent intellectuel salvateur.

Szyl

Sphère : La sphère de Szyl est celle de l’air. La puissance de cette magie est comme la sphère : de la simple brise aux tempêtes dévastatrices. Les Voyageurs sont les hommes qui suivent sa voie.

 

Mentalité : Fils de Nenya, il est chéri par celle-ci et les autres grands dragons. Maître des airs, il est léger et d’un naturel joyeux. Il a souvent était diminué par Ozyr et Brorne qui ne supportent pas cette insouciance juvénile qu’il arbore. S’il s’est montré souvent ferme dans les grandes crises de Kor, il préfère, cependant, l’insouciance d’un vol vers l’aventure. Et s’il s’intéresse aux hommes, c’est seulement par moments et ses préférences vont à ceux qui se sont affranchis des exigence de la vie pour partir sur la route découvrir de nouveaux horizons. Contrairement, aux autre dragons, il fuie les espaces clos et ne vit que quelques semaines à Havre sa capitale bouillonnante et foisonnante.

 

Relations :

 

Les Hommes : Szyl est toujours amusé par les Hommes qui s’agitent sur le corps de son grand père. Ce qu’il aime chez eux, c’est leur dynamisme, leurs espoirs et leurs projets. Comme Kezyr, il est souvent fasciné par les constructions des Hommes. Mais ce qu’il trouve en plus chez ses Voyageurs, c’est leur liberté, leur capacité à s’échapper des exigences de la vie pour parcourir le monde. C’est pourquoi, il les rencontre souvent, mais jamais lors d’un conseil ou tout autre structure hiérarchique. Les élus de Szyl sont choisis par les Fils du Dragon de l’air. Szyl ne se donne pas le droit d’approbation ni même de sanction sur le choix des liens.

 

Ses Dragons : Fou est celui qui s’attaque à l’un des fils de Szyl, et cela vaut bien pour les Grands Dragons. D’un autre côté ; Szyl impose à ses enfants d’aller à l’aide de tout ailé injustement attaqué. Il en va de même pour les humains. Il ne comprendrait pas que l’un de ses fils laisse mourir un Inquisiteur blessé ou condamner un Humaniste innocent.

 

Ses Frères et sœurs : Szyl n’est pas vraiment très sociable et n’aime pas grand monde. Habitué aux grands espaces et aux longues périodes de solitude, ses rapports avec les autres Grands Dragons sont tendus. S’il apprécie sa mère et Heyra, il est très critique vis à vis des autres grands dragons.

 

Les Déviances : Dragon des airs, Szyl n’est pas un théoricien et les Tendances ne l’indispose pas plus qu’une obligation de reste au sol. Il n’approuve cependant pas les Humanistes voulant conquérir le ciel et Les Fatalistes qui massacrent au nom de Kalimsshar. En dehors de cela, Szyl est très distant des philosophies humaines et préfère les humains qui savent profiter du jour présent.